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nom cliquez pour comparer les prix |
Bitumix | Campenon Bernard Méditerranée, Crispin & Borst | Entrepose Contracting, Etavis, Eurovia | France Handling, Freyssinet | GTIE, GTIE Automotive | Hidepitö | Imhoff, Imhoff | NK Networks & Services | ODS | Solétanche (81%) | TMS | Vinci , VINCI Concessions, VINCI Construction Grands Projets (27 %)), Vinci Energies-Information, VINCI Park, Vossloh Infracstructures Services | WFS, White Mountain Quarries, Worldwide Flight Services |
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année | activité source |
2006 | Vinci exploite 4000 km d'autoroutes en France. | Capital |
2006 | Vinci is the world's biggest builder. traduire | Bloomberg |
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pays | adresse & contact : type de production avantage source |
Chili | En coopéaration de Hochtief (Allmagne), Bridge (Etats-unis), Tesca et Besalco (Chili); durée 38 ans : pont de Chiloépont de Chiloé Reuters |
Chili | Bitumix : Route Reuters |
Chili | Exploitation de l'autoroute Chillan-Colipulli : autoroute Reuters |
Chili | Chili - Partenariat public-privé : 3 prisons Entreprise |
France | Concession de 35 ans, rémunérée 471 000 euros par an par la mairie du Mans. : PPP, Stade MMArena de 25000 places, hôtel et restaurant panoramique Les Echos |
France | Aéroport de Nice : PPP, Réalisation et l'exploitation du futur centre d'activité pour les loueurs de voitures de l'aéroport Nice Côte d'Azur. Boursier.com |
France | A86 Ouest, Paris : Tunnel routier Entreprise |
France | Prado-carénage, Marseille : Tunnel routier Entreprise |
Hongrie | Construction d'un tronçon d'autoroute de 15 km entre Zamardi et Balatonszarszo : Boursorama |
Mexique | En coopération avec Sempra : deux réservoirs de gaz naturel L'usine nouvelle |
Pologne | Au nord de Varsovie : Production, conception-construction d'une station d'épuration Entreprise |
Roumanie | : construction d'autoroute Le Monde |
Suisse | Etavis, Zurich : Production, Les Echos |
Vietnam | Phnom Penh (70%) : Aéroport, concession Les Echos |
Vietnam | Siem Reap (70%) : Aéroport, concession Les Echos |
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année nom | photo fonction; rémunération source |
2006Zacharias, Antoine | PDG; stock-options: 300 millions Eu€; indemnités: 15 millions Eu€; Les Echos |
2002Zacharias, Antoine | PDG; salaire: 3 millions Eu€; stock-options: 20 millions Eu€; Les Echos |
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année | employés <> | impact social : pays source |
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année | employés <> | impact social : pays source |
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année | délinquance financière | ventes | résultat | | rachat | source |
2008 |
| | | | 0,253 | milliard(s) Eu€ | Les Echos |
2008 |
| 33,5 | | |   | milliard(s) Eu€ | Les Echos |
2007 |
| | | | 0,937 | milliard(s) Eu€ | Les Echos |
2007 |
| 30,4 | 1,46 | |   | milliard(s) Eu€ | Entreprise |
2007 |
Le 27 février 2007, la cour d'appel de Paris a confirmé les condamnations pénales prononcées le 26 octobre 2005 par le tribunal de grande instance de Paris à l'encontre de dirigeants des sociétés Bouygues Bâtiment, CBC Ile-de-France, Dumez Ile-de-France, Fougerolle, GTM, Nord France, SAEP, SCGPM et SPIE. Ceux-ci ont été condamnés pour avoir « pris frauduleusement (…) une part personnelle et déterminante dans la conception, l'organisation ou la mise en oeuvre d'une entente ayant pour objet ou pouvant avoir pour effet d'empêcher de restreindre ou de fausser le jeu de la concurrence sur le marché ». Entre 1989 et 1996, 14 sociétés, dont certaines sont issues d'une restructuration de plusieurs entreprises et appartenant aux six grands groupes de BTP opérant en France au cours de la période concernée, se sont livrées à une entente générale et continue pour se répartir 88 marchés publics des lycées d'Ile-de-France d'un montant total de 10 milliards de francs. Les dirigeants ont reconnu que, dès 1989, avant même le lancement de la première vague de marchés, les entreprises se sont réunies et accordées sur le principe d'une répartition de tous les marchés à venir. Elles ont confirmé que les sept vagues de marchés publics lancées par la région ont fait l'objet d'autres réunions de répartition, de contacts directs entre les entreprises ou d'échanges d'informations. Dans un premier temps, les entreprises étaient présélectionnées par une commission occulte auprès de laquelle Patrimoine Ingénierie avait notamment pour rôle de faire respecter une règle de partage des marchés entre PME et grands groupes (1/3 ; 2/3) avalisée par le Conseil régional d'Ile-de-France. Dans un second temps, conformément au plan de répartition convenu, chaque entreprise présélectionnée faisait en sorte soit d'obtenir l'attribution du marché en indiquant à ses « concurrents » les marchés sur lesquels ses choix s'étaient portés et en leur communiquant ses prix ; soit d'y renoncer en déposant une offre de prix délibérément majorée (offre de couverture). Le Conseil de la concurrence a infligé aux entreprises du secteur des sanctions qui représentent 5% de leur chiffre d'affaires - soit le maximum autorisé par la législation alors applicable. |
| | | |   | | Entreprise |
2007 |
Le 27 février 2007, la cour d'appel de Paris a confirmé les condamnations pénales prononcées le 26 octobre 2005 par le tribunal de grande instance de Paris à l'encontre de dirigeants des sociétés Bouygues Bâtiment, CBC Ile-de-France, Dumez Ile-de-France, Fougerolle, GTM, Nord France, SAEP, SCGPM et SPIE. Ceux-ci ont été condamnés pour avoir « pris frauduleusement (…) une part personnelle et déterminante dans la conception, l'organisation ou la mise en oeuvre d'une entente ayant pour objet ou pouvant avoir pour effet d'empêcher de restreindre ou de fausser le jeu de la concurrence sur le marché ». Entre 1989 et 1996, 14 sociétés, dont certaines sont issues d'une restructuration de plusieurs entreprises et appartenant aux six grands groupes de BTP opérant en France au cours de la période concernée, se sont livrées à une entente générale et continue pour se répartir 88 marchés publics des lycées d'Ile-de-France d'un montant total de 10 milliards de francs. Les dirigeants ont reconnu que, dès 1989, avant même le lancement de la première vague de marchés, les entreprises se sont réunies et accordées sur le principe d'une répartition de tous les marchés à venir. Elles ont confirmé que les sept vagues de marchés publics lancées par la région ont fait l'objet d'autres réunions de répartition, de contacts directs entre les entreprises ou d'échanges d'informations. Dans un premier temps, les entreprises étaient présélectionnées par une commission occulte auprès de laquelle Patrimoine Ingénierie avait notamment pour rôle de faire respecter une règle de partage des marchés entre PME et grands groupes (1/3 ; 2/3) avalisée par le Conseil régional d'Ile-de-France. Dans un second temps, conformément au plan de répartition convenu, chaque entreprise présélectionnée faisait en sorte soit d'obtenir l'attribution du marché en indiquant à ses « concurrents » les marchés sur lesquels ses choix s'étaient portés et en leur communiquant ses prix ; soit d'y renoncer en déposant une offre de prix délibérément majorée (offre de couverture). Le Conseil de la concurrence a infligé aux entreprises du secteur des sanctions qui représentent 5% de leur chiffre d'affaires - soit le maximum autorisé par la législation alors applicable. |
| | | |   | | Entreprise |
2006 |
| 25,64 | 1,28 | |   | milliard(s) Eu€ | Entreprise |
2006 |
Entente avec ses concurrents pour se répartir 40 marchés de travaux publics d'Ile-de-France, de la SNCF et de la RATP (Eole et Meteor), d'un montant d'1 milliard d'euros. Amende de 2,4 millions d'euros infligé par le Conseil de la concurrence. traduire |
| | | |   | | Boursier.com |
2006 |
Condamné à une amende d'un montant global de 2,8 millions d'euros pour "entente complexe et continue" lors de la passation de marchés publics routiers conclus avec le conseil général de la Seine-Maritime. traduire |
| | | |   | | Le Monde |
2005 |
Sanctionné pour entente lors de la passation de marchés de travaux publics dans le département de la Meuse de 1996 à 1998 (travaux de génie civil, de viabilité, d'adduction d'eau potable, d'assainissement et routier). Le Conseil de la concurrence a constaté que les sociétés se réunissaient régulièrement, avant la date de dépôt des offres, pour se répartir par avance entre elles les marchés. Pour huit marchés de la région, les entreprises ont échangé des informations préalablement au dépôt des offres, acceptant parfois de couvrir d'autres sociétés par le dépôt d'offres de couverture. Enfin, des sociétés se sont livrées à une entente anticoncurrentielle en déposant des offres présentées comme concurrentes, alors qu'elles avaient été élaborées de manière non indépendante l'une de l'autre. Le Conseil de la concurrence a infligé à ces entreprises des sanctions pécuniaires, pour un montant cumulé de 7 millions d'euros. traduire |
| | | |   | | Conseil de la concurrence |
2005 |
Sanctionné pour entente lors de la passation de marchés de travaux publics dans le département de la Meuse de 1996 à 1998 (travaux de génie civil, de viabilité, d'adduction d'eau potable, d'assainissement et routier). Le Conseil de la concurrence a constaté que les sociétés se réunissaient régulièrement, avant la date de dépôt des offres, pour se répartir par avance entre elles les marchés. Pour huit marchés de la région, les entreprises ont échangé des informations préalablement au dépôt des offres, acceptant parfois de couvrir d'autres sociétés par le dépôt d'offres de couverture. Enfin, des sociétés se sont livrées à une entente anticoncurrentielle en déposant des offres présentées comme concurrentes, alors qu'elles avaient été élaborées de manière non indépendante l'une de l'autre. Le Conseil de la concurrence a infligé à ces entreprises des sanctions pécuniaires, pour un montant cumulé de 7 millions d'euros. traduire |
| | | |   | | Conseil de la concurrence |
2005 |
Vinci Construction condamné par le conseil de la concurrence pour entente lors de la passation de marchés de construction de 51 des 79 ouvrages d'art de l'autoroute A84, dite « Route des Estuaires ». Les 21 entreprises « avaient participé à une entente de vaste envergure, se livrant à des pratiques illicites d'échanges d'informations préalables au dépôt des offres, qui ont conduit à une répartition des marchés ». Elles ont reçu une amende totale de 16,5 millions d'euros. traduire |
| | | |   | | Les Echos |
2005 |
Vinci condamné par le conseil de la concurrence pour entente lors de la passation de marchés de construction de 51 des 79 ouvrages d'art de l'autoroute A84, dite « Route des Estuaires ». Les 21 entreprises « avaient participé à une entente de vaste envergure, se livrant à des pratiques illicites d'échanges d'informations préalables au dépôt des offres, qui ont conduit à une répartition des marchés ». Elles ont reçu une amende totale de 16,5 millions d'euros. traduire |
| | | |   | | Les Echos |
2005 |
| 19,56 | | | 0,026 | milliard(s) Eu€ | TF1 |
2004 |
| | | | 0,7 | milliard(s) Eu€ | Les Echos |
2003 |
| 18,1 | 0,54 | |   | milliard(s) Eu€ | Les Echos |
2002 |
| 17,55 | 0,48 | |   | milliard(s) Eu€ | Entreprise |
2001 |
| 17,17 | 0,45 | |   | milliard(s) Eu€ | Entreprise |
2000 |
| 17,33 | 0,42 | |   | milliard(s) Eu€ | Entreprise |
1999 |
| 15,72 | 0,27 | |   | milliard(s) Eu€ | Entreprise |
1998 |
| 8,01 | 0,09 | |   | milliard(s) US$ | Entreprise |
1997 |
| | 0,03 | |   | milliard(s) US$ | Entreprise |
1995 |
«entreprise de corruption généralisée», entente classique entre grandes entreprises de construction: surcoût annuel imposé au département d'Isère de 10 millions de FF. traduire |
| | | |   | | Le Canard Enchaîné |
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année | délinquance financière | ventes | résultat | actifs | rachat | source |
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année | objectif : intermédiaire/lobby : institution source |
2002 | : : Corruption active de fonctionnaire et complicité par instruction donnée de faux et usage de faux. traduire | Le Bien Public |
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année | objectif : intermédiaire/lobby : institution source |
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année | pratique douteuse : image source |
2004 | Partenariat contestable: | Le Parisien |
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